Face à l’inaction de l’État et des ministres de la Culture et de la Justice, l’association EN QUÊTE DE JUSTICE dépose une requête en référé-liberté devant le Conseil d’État.
Le fait de mettre des œuvres à l’index n’est pas, n’a jamais été et ne sera jamais le choix des démocraties. Le contrôle des œuvres est un choix politique. Ce n’est pas parce qu’il opère de façon détournée que l’État n’en est pas responsable. Il revient à l’État d’assurer et d’assumer en toute transparence la politique menée à l’égard des auteurs.